Bernard, je suis tellement attristé par ton décès, mais je me souviens de toi, mon beau-père, avec beaucoup d’amour et d’affection. Ton sourire et ton rire, tes encouragements avec mes cours de français et ta gentillesse et ton amitié lors de nos rencontres chaleureuses. Je chérirai ces souvenirs et les garderai près de mon cœur.
Repose en paix sous la protection de Dieu
Kate Charluet (Australie)

Christine & Philippe
Durant ces 15 années tu m’as permis de m’ouvrir l’esprit à la culture, la lecture et à être curieuse d’autres
horizons. Tu m’as transmis la volonté, l’opiniâtreté, la valeur du travail et du respect, un certain sens de la répartie et de l’humour aussi.
Autodidacte je t’ai vu apprendre l’allemand dans un vieil Assimil, t’initier aux échecs jusqu’à faire des championnats, toujours curieux et enthousiaste d’apprendre de nouvelles choses. Féru de lecture et de musique, épicurien aussi jusqu’à la gourmandise, sans doute une façon de rattraper les privations de la guerre dans tes jeunes années.
C’est ce que je retiendrai de toi : un bon vivant, aimant rire et partager la bonne chère. Tu es parti rejoindre ton complice de toujours ton frère Edmond et vous êtes bien capables de refaire le monde de là haut un bon verre de vin à la main.
Aujourd’hui l’un de tes arrière petit fils est doué pour les langues, joue aux échecs depuis 2 ans, passe son temps à lire… la relève est assurée, les CHARLUET sont toujours là tu peux en être sûr, ton sang continue de couler !
Repose en paix papa, je ne t’oublie pas.
Christine Charluet
Cher Bernard,
Tu t’en vas et pourtant je te sens toujours présent. Nous avons partagé bien des moments soit en famille, chez mes parents, soit en compagnie de tes deux frères pour des randonnées et même un certain nombre de sorties, comme de bons copains, aux Champs Elysées, le samedi soir.
Ces sorties chaleureuses, tu les avais souvent évoquées comme des moments conviviaux et riches en contacts de personnes venues des 5 continents.
Ce sont ces moments, que je n’ai pas même partagé avec mon père, ton frère, et que je garderai au fond de mon cœur comme une lumière de joie, animée par tes rires inoubliables, bienveillants et tellement réchauffants!
Bernard, je te dis à très bientôt car pour moi, tu seras là encore, à de multiples occasions dont je me réjouis à l’avance.
Je t’embrasse ! Ton copain Michel
Michel Charluet